mardi 3 février 2015

Le temps passe

Le temps passe et je n'ai rien posté depuis des lustres ! J'ai filé cet été mais je n'ai malheureusement pas eu le temps de continuer. Le boulot, qui me prends du temps, beaucoup de temps. Et puis un peu de fatigue et une année chargée en émotions et difficile à gérer pour moi. Une perte qui arrive tôt ou tard et qui est ô combien difficile à gérer. Et le manque.

J'ai fait un voyage initiatique sur mes terres d'origine. Un retour aux sources qui m'a remise debout, un besoin de retrouver ses racines, d'entendre des histoires sur mes origines, des surprises aussi et une découverte d'une famille loin mais bien présente. La Pologne, ma Pologne, ma langue maternelle quasi oubliée. Des réminiscences et finalement une langue qu'on n'oublie pas totalement.


LA maison de mes origines. Elle doit dater de la fin du 19e siècle !





L'église où se rendaient mes arrières grand-parents




Le belle campagne polonaise 



Du ciel 



Depuis j'ai tricoté un peu. En fonction du temps imparti, entre les cours et les préparations de cours.
J'ai terminé mon Grand Favorito en angora, fait une couverture bébé pour une copine, commencé un gilet en free style, presque terminé. Et filé quelques jolis écheveaux. Mais je suis au ralentin j'ai des envies de couture surtout depuis que je regarde Outlander. Ah l'Ecosse et le tartan ! Il faut que j'aille en Ecosse ! J'aime les paysages sauvages, la nature ! 

Il a neigé un peu en Normandie. Ce matin comme tous les jours j'ai promené mon ours. C'était beau !










Le prochain post, je vous le promet ne sera pas aussi nostalgique. Mais des fois ça fait du bien.





1 commentaire:

noellaine a dit…

Merci pour ces belles photos
Excusez moi de profiter de votre blog pour lancer un appel à toutes les tricoteuses en faveur de Bergère de France. C'est la copie de la lettre que j'ai envoyé au maire de Bar-le-Duc
onsieur le Maire,
Comme des milliers de tricoteuses en France je suis atterrée par les menaces qui pèsent sur Bergère de France.
Cette entreprise ne doit pas disparaître, ni étre bradée à un repreneur qui va s'emparer des brevets, des machines et des savoir-faire pour délocaliser et licencier.
La lutte pour sauver BdF n'est pas seulement économique et politique, elle est aussi un combat culturel, les "arts mineurs" font partie de la culture.
Existe-t-il une association des amis de BdF ? peut-on en créer une ? Quels pourraient être ses actions et interventions ? A qui s'adresser ?
Je poste la copie de cette lettre sur le forum Bdf ainsi que sur mon blog